Gingersnap est né il y a douze ans de la rencontre fortuite de Jam and Jay.

Jay était à cette époque danseur de danses sacrées balinaises dans les temples hindouistes, et attiré par toutes formes d’art. Jam avait déjà créé sa propre marque de vêtements en France depuis presque dix ans, vendue au shop à paris rue Etienne Marcel, et sur des îles touristiques (belle île en mer, île de Ré, Presqu'île de Rhuys). Jam alors décide d’apporter à la collection une ligne plutôt streetwear, avec des vêtements définitivement urbains, modernes et avant-gardistes.

Jay, lui, amène de la rondeur et de la volupté aux formes, un aspect plus sexy qu’il arrange parfois de fantaisies discrètes voire secrètes: un passe poil coloré pour un vêtement de couleur foncée, une finition couture main, un revers de poche en laine bouillie d’Italie.

Ils se mettent d’accord pour n’utiliser que des tissus en fibre naturelle, lin, coton, rayonne, jersey, soie.

Leurs inspirations viennent essentiellement de la rue. Tous deux grands voyageurs parcourent le globe à la recherche de nouveaux styles dénichés par hasard au détour d’une rue. Ils ramènent de ces voyages des accessoires originaux afin de rendre le vêtement plus unique encore.

La collection homme se veut intergénérationnelle, visant un chic élaboré, une élégance au naturel et le confort au quotidien. L’homme Gingersnap est en quelque sorte un dandy aventurier, à la recherche d’un monde où la mode sort des sentiers battus pour emprunter plutôt des chemins hors-pistes.

Il est voyageur, charmeur, décontracte et il aime les endroits à la mode qui ont gardé une âme. On le voit traversant la rivière de Singapour sur un transporteur, ou bien assis à la terrasse d’un café, rue Beaubourg, c’est un jouisseur immédiat de la vie.

Il apprécie les belles étoffes comme le lin naturel, le cuir brut et vintage, qui lui donne justement cet air désinvolte et libre, comme un va nu pieds, en boots de cuir.

Elle, est une femme émancipée, pas sophistiquée mais d’une rare élégance. Elle est libérée des dictats de la mode. Elle aime se déplacer avec des mouvements amples et larges, et surtout elle ne veut pas être étriquée dans son pantalon ou sa robe du soir.

La femme Gingersnap est une femme joyeuse, elle danse à tout va, se débrouille seule, et aime sans retenue. Tantôt sexy sans être provocatrice, tantôt stylisée sans être formatée.

Elle aussi, aime frapper le pavé de ses talons en cuir retourné légèrement sanglés sur le mollet pour parcourir le monde. Elle voyage et rit beaucoup, elle feuillette des revues en tous genres pendant des heures dans une librairie d’Istanbul, ou bien elle sirote sans se soucier du temps qui va, un thé glace dans un petit café place saint-pierre, à l’ombre d’un parasol rouge, avec son journal préféré (le canard enchaîné).

Elle se veut différente, elle aime les toiles légères, qui peuvent aussi se ceinturer le soir pour plus d’élégance. Elle est une sorte d’intellectuelle engagée sachant allier une apparence féminine subtile, chic et décontracte, et un esprit rebelle refusant à tout prix d’être une femme Barbie.

En un mot, au-delà des apparences, Gingersnap, n’est pas une mode de plus, mais un état d’être, un exquis style de vie.

Durabilité

À Gingersnap, nous nous efforçons de privilégier nos relations avec des petits artisans pour la teinture, le lavage des tissus par exemple. Nos tissus sont sourcés à Bali ou Java de préférence, pour nos collections capsules nous faisons appel à l'international. Déjà 12 ans que nous existons en plein coeur de Seminyak, notre équipe s'agrandit chaque jour, et nous comptons environ 100 employés. Certains de nos employés travaillent avec nous depuis le début. Le propriétaire étant lui même balinais nous respectons les us et coutumes de l'île avec une grande attention. Soucieux de l'avenir de notre planète, nous avons utilisons des emballages en papier recyclé. Toutes nos matières sont exclusivement naturelles, nous bannissons le synthétique. Gingersnap privilégie avant tout les collections en petites séries limitées plutôt que de la production de masse, c'est pour cette raison que les créateurs réalisent de nouveaux prototypes pratiquement chaque mois, permettant un meilleur turn over et une production de maximum 100 pièces par modèles .